Bonjour à tous,
Un petit post qui, je l'espère, sera à la bonne place, afin de prévenir ceux qui aurait l'intention de prendre de la hauteur avec leurs K.
Tout se passe globalement bien, et vous êtes à 2000 mètres. Le col approche, le début est convenable. Toutefois, à 3000 mètres, les choses deviennent moins aisées: la puissance se fait discrète, et il convient de cravacher un peu plus le moteur. Mais les choses se passent plutôt bien. Dans le cas présent, deux notes importantes. En premier lieu, la moto est affublée d'un side car. En second lieu, pour toute route, vous avez une piste de qualité fort correcte.
Fort de cette première expérience, vous attaquez le second col.
Altitude de départ, environ 3000 mètres. La piste n'est plus du tout de la même qualité: de grosses pierres vaguement ensevelies donnent au chemin un relief difficile. La fonte des neiges fait déferler la boue sous vos roues, et l'adhérence est minimale. Et lorsque vous atteignez les 4000 mètres environ, les choses changent radicalement: le moteur chauffe beaucoup plus, car il vous est impossible de passer la seconde. La qualité du revêtement ne vous le permet pas, et en outre, le moteur a perdu une large partie de sa puissance. La pente est certes importante, mais vous sentez, à chaque remise des gaz, que la moto est à la peine.
Le col à 4700 mètres, sur une piste beaucoup plus agréable, confirmera puissance 6 cette impression: en troisième, à 60 km/h, le régime moteur diminue, diminue, diminue, rétrogradage, re-rétrogradage...et première! Au final, la perte de puissance est impressionnante, et le moteur monte beaucoup plus vite en température. Malgré tout, votre labeur, vos efforts, vos peurs et vos appréhensions seront rapidement balayées par les splendides paysages que vous et votre véhicule auront mérité.
Petit test effectué sur la "Pamir Highway", au Tadjikistan, petite route que je vous recommande le plus vivement au monde.
Un petit post qui, je l'espère, sera à la bonne place, afin de prévenir ceux qui aurait l'intention de prendre de la hauteur avec leurs K.
Tout se passe globalement bien, et vous êtes à 2000 mètres. Le col approche, le début est convenable. Toutefois, à 3000 mètres, les choses deviennent moins aisées: la puissance se fait discrète, et il convient de cravacher un peu plus le moteur. Mais les choses se passent plutôt bien. Dans le cas présent, deux notes importantes. En premier lieu, la moto est affublée d'un side car. En second lieu, pour toute route, vous avez une piste de qualité fort correcte.
Fort de cette première expérience, vous attaquez le second col.
Altitude de départ, environ 3000 mètres. La piste n'est plus du tout de la même qualité: de grosses pierres vaguement ensevelies donnent au chemin un relief difficile. La fonte des neiges fait déferler la boue sous vos roues, et l'adhérence est minimale. Et lorsque vous atteignez les 4000 mètres environ, les choses changent radicalement: le moteur chauffe beaucoup plus, car il vous est impossible de passer la seconde. La qualité du revêtement ne vous le permet pas, et en outre, le moteur a perdu une large partie de sa puissance. La pente est certes importante, mais vous sentez, à chaque remise des gaz, que la moto est à la peine.
Le col à 4700 mètres, sur une piste beaucoup plus agréable, confirmera puissance 6 cette impression: en troisième, à 60 km/h, le régime moteur diminue, diminue, diminue, rétrogradage, re-rétrogradage...et première! Au final, la perte de puissance est impressionnante, et le moteur monte beaucoup plus vite en température. Malgré tout, votre labeur, vos efforts, vos peurs et vos appréhensions seront rapidement balayées par les splendides paysages que vous et votre véhicule auront mérité.
Petit test effectué sur la "Pamir Highway", au Tadjikistan, petite route que je vous recommande le plus vivement au monde.