Je me sert de mon flat tous les jours, en utilisation ville et suburbain, + voyage vacances.
Le montage d’origine du pont de diode Bosch (silent blocs) me semble poser quelques problèmes
Mon constat :
- Quand j’ai acheté mon actuel R 100 RT, je l’ai vérifié de partout : 3 des silent blocs du pont de diode étaient mort ; j’ai changé les 4
- Quand j’ai préparé mon trip dans les Alpes, en juin 08, je les ai vérifiés : les 2 du haut étaient morts de nouveau ( tenue 1,5 ans, 25 000 km)
- De retour je viens de faire une petite vérif : de nouveau un de ceux du haut a laché
C’est à vérifier régulièrement car quand les 4 silent blocs sont mort, le tableau de diode vient reposer sur le carter et alors Court-jus / diodes mortes / 90€ /
Petite recherche sur le net et la réflexion de Rick Jones du Sacrameto river city Beemers (traduction perso) me semble intéressante :
« Le montage rigide du tableau de diodes était le montage d’origine, à la conception du moteur type 247 Boxer. Durant mes 25 ans d’expérience professionnelle sur ces machines, j’ai pu voir qu’une majeur partie des vieux série/5-6-7 tournaient encore avec le tableau de diode Bosch d’origine . Le montage sur silentblocs apparaît sur la 90 S qui était sensée passer des heures à haute vitesse, et à régime élevé. L’idée des vibrations commence là.
De plus, BMW revint au montage rigide sur tout les 80 GS depuis ’81-87, apres avoir mis un montage souple sur tous les modèle depuis au moins 1978.
Alors pourquoi ont-ils fais marche arrière ? Spécialement sur un plus petit moteur, une machine tout terrain avec un petit rapport de transmission qui entraîne des régimes élevé, et les vibrations qui vont avec ? je suppose que c’est parce qu’ils savaient que ces machine ferait pas mal de tout terrain, tournant à faible régime, avec les problèmes de charge que cela suppose.
Pour obtenir la meilleur charge possible dans ces conditions, ils auront voulu obtenir la meilleur dissipation de chaleur possible depuis le châssis du tableau de diodes qui est déjà en lui-même un radiateur classiquement fait pour dissiper la chaleur résultant de l’activité électrique au travers des diodes : plus la températures d’un composant électrique est élevée, moindre est son rendement.
Le seul résultat des vibrations sur le pont de diode que j’ai jamais observé en 25 ans c’est des soudure de cosses détruites par les vibrations du tableau sur les silent blocs.
Le montage souple assure deux choses qui accroissent les problèmes de chaleur : mauvaise masse et pas de dissipation de chaleur depuis le châssis. Les fils de masse du montage d’usine sont et ont toujours été ,à l’évidence, inadéquates comme le montre l’ aspect chroniquement « cuit » de l’isolant. Les silent bloc suspendent en l’air le tableau de diode, ce qui forme un tres efficace isolant calorifique. Avec aucune circulation d’air sous le couvercle frontal le tableau de diode n’a AUCUNE possibilité de dissiper la chaleur induite par l’activité électrique ET la grande résistance du cheminement de la masse . J’ai vu beaucoup de tableau de diode avec des fissures dans le matériau phénolique utilisé dans la construction du tableau de diode.
Cette surchauffe chronique (et la chaleur qui monte ! NdT.) explique pourquoi ce sont surtout les deux silent blocs du haut qui lâchent si souvent, alors que les deux du bas sont bien souvent intacts… »
Qu’en pensez vous ??
Le montage d’origine du pont de diode Bosch (silent blocs) me semble poser quelques problèmes
Mon constat :
- Quand j’ai acheté mon actuel R 100 RT, je l’ai vérifié de partout : 3 des silent blocs du pont de diode étaient mort ; j’ai changé les 4
- Quand j’ai préparé mon trip dans les Alpes, en juin 08, je les ai vérifiés : les 2 du haut étaient morts de nouveau ( tenue 1,5 ans, 25 000 km)
- De retour je viens de faire une petite vérif : de nouveau un de ceux du haut a laché
C’est à vérifier régulièrement car quand les 4 silent blocs sont mort, le tableau de diode vient reposer sur le carter et alors Court-jus / diodes mortes / 90€ /
Petite recherche sur le net et la réflexion de Rick Jones du Sacrameto river city Beemers (traduction perso) me semble intéressante :
« Le montage rigide du tableau de diodes était le montage d’origine, à la conception du moteur type 247 Boxer. Durant mes 25 ans d’expérience professionnelle sur ces machines, j’ai pu voir qu’une majeur partie des vieux série/5-6-7 tournaient encore avec le tableau de diode Bosch d’origine . Le montage sur silentblocs apparaît sur la 90 S qui était sensée passer des heures à haute vitesse, et à régime élevé. L’idée des vibrations commence là.
De plus, BMW revint au montage rigide sur tout les 80 GS depuis ’81-87, apres avoir mis un montage souple sur tous les modèle depuis au moins 1978.
Alors pourquoi ont-ils fais marche arrière ? Spécialement sur un plus petit moteur, une machine tout terrain avec un petit rapport de transmission qui entraîne des régimes élevé, et les vibrations qui vont avec ? je suppose que c’est parce qu’ils savaient que ces machine ferait pas mal de tout terrain, tournant à faible régime, avec les problèmes de charge que cela suppose.
Pour obtenir la meilleur charge possible dans ces conditions, ils auront voulu obtenir la meilleur dissipation de chaleur possible depuis le châssis du tableau de diodes qui est déjà en lui-même un radiateur classiquement fait pour dissiper la chaleur résultant de l’activité électrique au travers des diodes : plus la températures d’un composant électrique est élevée, moindre est son rendement.
Le seul résultat des vibrations sur le pont de diode que j’ai jamais observé en 25 ans c’est des soudure de cosses détruites par les vibrations du tableau sur les silent blocs.
Le montage souple assure deux choses qui accroissent les problèmes de chaleur : mauvaise masse et pas de dissipation de chaleur depuis le châssis. Les fils de masse du montage d’usine sont et ont toujours été ,à l’évidence, inadéquates comme le montre l’ aspect chroniquement « cuit » de l’isolant. Les silent bloc suspendent en l’air le tableau de diode, ce qui forme un tres efficace isolant calorifique. Avec aucune circulation d’air sous le couvercle frontal le tableau de diode n’a AUCUNE possibilité de dissiper la chaleur induite par l’activité électrique ET la grande résistance du cheminement de la masse . J’ai vu beaucoup de tableau de diode avec des fissures dans le matériau phénolique utilisé dans la construction du tableau de diode.
Cette surchauffe chronique (et la chaleur qui monte ! NdT.) explique pourquoi ce sont surtout les deux silent blocs du haut qui lâchent si souvent, alors que les deux du bas sont bien souvent intacts… »
Qu’en pensez vous ??