Ce jour béni, je refais péter la K75 suite à la longue, très longue aventure du nettoyage de la roue libre qui est aux BM'istes ce que la scarlatine est aux enfants : tout le monde y passe un jour ou l'autre. mais là, pas de vaccin, et on peut l'attraper plusieurs fois.
Tout d'abord, pour apporter une pierre à l'édifice d'erick10023, le coup du nettoyage pulvérisé n'a pas marché , pas plus que l'additif nettoyant avant vidange Metal 5.
Faut dire que les derniers temps , le démarrage était devenu impossible...
Donc, et c'est là où ça devient intéressant, j'en ai profité , une fois la vidange faite et le filtre ôté, pour virer le bas carter et avec un tube en cuivre, j'ai chassé le regard de niveau en frappant dessus un petit coup : cela ne l'a déformé que très peu et après un gasoilage-soufflage pertinent, le regard a été replacé. Vu le prix de cet objet, vous comprendrez l'intérêt de la manip ! et je peux vous dire que la crasse à l'intérieur, elle est tenace.
Toujours est-il qu'une fois déposé la roue libre par la méthode traditionnelle, et l'avoir passée au gas-oil au pinceau et trempée 3 jours, certains galets restaient coincés : il a donc fallu aller jusqu'à la séparation de la roue de sa cage pour en venir à boutet le rendre nickel. Et là, j'aurais pu en faire un hochet, si mon fils avait pas eu 18 ans...
Mais la joie de la mécanique n'allait pas me lâcher en si bon chemin : le démarreur avait aussi chargé (petit moment de solitude devant les 250 kg de métal inerte à la remise en route), un charbon étant à l'agonie : je comprends que la roue gommée a coincé le démarreur qui devait tourner en permanence par moments, d'où usure prématurée.
Enfin, l'opportunité de changer les huiles de boite et de pont m'ont fait retrouver une douceur comme je l'aime, ce que je n'aurais pas forcément fait par la méthode courte de la pulvérisation...
Moralité : ne point attendre ni trop rouler quand une roue libre n'est plus libre, et aller au plus profond fait parfois découvrir des choses inattendues , sans jeu de maux...
merci de m'avoir lu
Tout d'abord, pour apporter une pierre à l'édifice d'erick10023, le coup du nettoyage pulvérisé n'a pas marché , pas plus que l'additif nettoyant avant vidange Metal 5.
Faut dire que les derniers temps , le démarrage était devenu impossible...
Donc, et c'est là où ça devient intéressant, j'en ai profité , une fois la vidange faite et le filtre ôté, pour virer le bas carter et avec un tube en cuivre, j'ai chassé le regard de niveau en frappant dessus un petit coup : cela ne l'a déformé que très peu et après un gasoilage-soufflage pertinent, le regard a été replacé. Vu le prix de cet objet, vous comprendrez l'intérêt de la manip ! et je peux vous dire que la crasse à l'intérieur, elle est tenace.
Toujours est-il qu'une fois déposé la roue libre par la méthode traditionnelle, et l'avoir passée au gas-oil au pinceau et trempée 3 jours, certains galets restaient coincés : il a donc fallu aller jusqu'à la séparation de la roue de sa cage pour en venir à boutet le rendre nickel. Et là, j'aurais pu en faire un hochet, si mon fils avait pas eu 18 ans...
Mais la joie de la mécanique n'allait pas me lâcher en si bon chemin : le démarreur avait aussi chargé (petit moment de solitude devant les 250 kg de métal inerte à la remise en route), un charbon étant à l'agonie : je comprends que la roue gommée a coincé le démarreur qui devait tourner en permanence par moments, d'où usure prématurée.
Enfin, l'opportunité de changer les huiles de boite et de pont m'ont fait retrouver une douceur comme je l'aime, ce que je n'aurais pas forcément fait par la méthode courte de la pulvérisation...
Moralité : ne point attendre ni trop rouler quand une roue libre n'est plus libre, et aller au plus profond fait parfois découvrir des choses inattendues , sans jeu de maux...
merci de m'avoir lu